Ma fin bateau ivre
sillonne la courbe de mes talons
De m'échouer bleutée, plombé le teint
au-delà des yeux
La peau croute de sel dévoré par
ton ambition
Tu gagnes plus de frics, tu as plus d'amis, tu es tellement profond
Une main crachat cendrée
sur la tête
Mes cils touchent le ciel
en absorber la pluie.
Hier, je n'ai pas voulu faire comme tu voulais dans le lit. J'aurais aimé être en contrôle. Tu ne le permets pas.
Un cercle brulant au pied de
mon âme.
vendredi 25 février 2011
jeudi 24 février 2011
La solitude de février
frappe au coeur de ma nostalgie
Le rang d'en haut, ma voiture rouge
Nous ne serons plus jamais deux
sur cette route.
Je reste seule un samedi soir
J'écris notre fin, notre mort
Vous ne comprenez pas que je préfère
être avec ceux-là
Tu voulais que je sorte, que je m'amuse avec tes amis
Qu'on joue à l'amour devant public
Je reste seule un samedi soir
J'invente des histoires où tu me poignardes
et je pleure un peu
Des maudits vers libres
je n'en pense pas plus
Entre les omoplates de février
la lame au coeur
la nostalgie en haut dans la voiture rouge
Un samedi soir de notre mort
Ceux-là tes amis libres
Une solitude sur cette route
Notre fin, tu ne comprends pas
Je préfère m'amuser
Jouer à être seule
inventer que tu me poignardes
et penser la lame samedi soir
entre les omoplates de tes amis
L'amour reste seul en haut
Deux fins
Vous comprenez, je pleure un peu
dans la solitude de février
frappe au coeur de ma nostalgie
Le rang d'en haut, ma voiture rouge
Nous ne serons plus jamais deux
sur cette route.
Je reste seule un samedi soir
J'écris notre fin, notre mort
Vous ne comprenez pas que je préfère
être avec ceux-là
Tu voulais que je sorte, que je m'amuse avec tes amis
Qu'on joue à l'amour devant public
Je reste seule un samedi soir
J'invente des histoires où tu me poignardes
et je pleure un peu
Des maudits vers libres
je n'en pense pas plus
Entre les omoplates de février
la lame au coeur
la nostalgie en haut dans la voiture rouge
Un samedi soir de notre mort
Ceux-là tes amis libres
Une solitude sur cette route
Notre fin, tu ne comprends pas
Je préfère m'amuser
Jouer à être seule
inventer que tu me poignardes
et penser la lame samedi soir
entre les omoplates de tes amis
L'amour reste seul en haut
Deux fins
Vous comprenez, je pleure un peu
dans la solitude de février
jeudi 17 février 2011
Produire une légitimité
J'allume une cigarette
une camel, mes préférées
À vrai dire, je préfère les American Spirit, mais dans mon pays nous n'en vendons pas.
J'allume les draps du lit.
Le lit brule
Notre lit en flamme perd la mémoire de nos touchés
Mes yeux pleurent.
Mon problème
une camel, mes préférées
À vrai dire, je préfère les American Spirit, mais dans mon pays nous n'en vendons pas.
J'allume les draps du lit.
Le lit brule
Notre lit en flamme perd la mémoire de nos touchés
Mes yeux pleurent.
Mon problème
Poème d’amour
Je ne t’aime pas vraiment,
souvent je trouve que tu pues
Un chien de l’enfer.
On le dit souvent.
souvent je trouve que tu pues
Un chien de l’enfer.
On le dit souvent.
9 fév. 1h30
Compter les os
comme ma grand-mère comptait les
perles de son chapelet.
Je pris la faim.
Rolodex dans mon cerveau
ma main sur ma hanche
Dès demain, Oui
Dès demain
je maigrirai à nouveau
comme ma grand-mère comptait les
perles de son chapelet.
Je pris la faim.
Rolodex dans mon cerveau
ma main sur ma hanche
Dès demain, Oui
Dès demain
je maigrirai à nouveau
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